
Tout est rythme, au surplus, et immédiatement perçu comme tel
dès que le peintre en a fini.
C’est une sorte de chant choral où chaque note, chaque touche, arrive curieusement à jouer sa partie.Pierre-Jakez Hélias
♦ Galerie Regard à Brest : novembre 2010
♦ Villa Mériadec : août 2009
♦ Librairie-Galerie « Lettre à Cassandre » à Versailles: mai 2009
♦ Villa Mériadec à Douarnenez : août 2008
♦ Galerie Patricia Oranin à Pont-l’Abbé : Juin 2008
♦ Galerie Vasse à Lille : mai 2007