Spécialisé pendant une dizaine d’années dans la restauration de monuments historiques, fasciné par l’archéologie, ses vestiges et ses mystères, Luc LE MERCIER devint comme envoûté par ce monde inconnu plein de « fantômes » et de vibrations inexpliquées.
Déjà artiste-peintre, il exprima ses interrogations en tordant et sculptant des tubes d’acier pour devenir
« le porte parole » des émotions encore présentes dans ces vestiges anciens.
Il fit parler, chanter, hurler le fer.
Les grecs d’ANTIPOLIS ne l’auraient pas désavoué dans cette recherche d’un expressif à la fois humble et majestueux.
« Je possède l’expression, mais non l’explication de mon art, et à toi de ressentir ce qu’il t’envoie ».
« J’aime le fer …», dit-il, «… et sa rouille, elle est le passé, elle s’empare de présent et elle attend le futur.
Elle m’enchante par ses couleurs et me fait vibrer.»